UNDISCOVERED LIFE
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move your ass - Hysteria

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Empyrs Longstride
Empyrs Longstride


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move your ass - Hysteria Vide
MessageSujet: move your ass - Hysteria move your ass - Hysteria EmptySam 12 Juin - 21:29

Métamorphoser mes gestes abjects. Nous étions encore enroulé dans une passion démentielle qui nous tuait sans qu’on ne sache identifier le pourquoi du comment. Deux âmes vouées à une connivence brisée et prohibée. Hysteria, douce Hysteria , sais-tu seulement de quel afflige tu tues mon cœur cruel ? Cette femme avait toujours exercé sur moi une fascination néfaste. Je la désirais plus que les autres chairs, et l’image même de son corps touché par un autre, faisait naître en moi une jalousie démentielle. Même si je refusais de l’admettre, elle brûlait mon être d’une incommensurable convoitise. Quand je touchais un corps différent du sien, je ne pensais qu’à elle. Elle avait envahi mes songes, me hantant dans la froideur de mes nuits. Je haïssais tous les hommes qui regardait mon Hysteria, tous ces hommes qui récupéraient mes restes. Je la voulais mienne, mais mon estime se refusait de l’admettre.


Il n’y a que nous dans cette boîte. Nos corps enlacés suivant le rythme sourd d’une musique inconnue. Nos chevelures détachées et nos bras se mouvant sur le son des percutions. Le sol tremble et en chœur nous continuons de sauter comme si nous voulions sombrer ensemble dans les entrailles de l’enfer. Les couleurs défilent entre nos chairs. Tout cela nous aveugle et nous rend un peu plus sourds. « FUCK ME, I’M FAMOUS » Telle une bande d’abrutis ils crient pour ovationner le choix du DJ. Au bar, les gens lampent comme des trous. Nous pouvons voir ces hommes amadouer des filles futiles. Toujours le même coruscant discours : ils promettent tout et ne leur donneront que la peine d’une relation qui se mourra au crépuscule. La perversité est dans leurs yeux à tous. Aveuglément ils suivent le chemin de la déchéance. Dans cette nuit qui nous enferme de ce monde d’amorces, le temps s’arrête sur nos visages. Dans le vacarme qui se forme entre nos êtres, l’impression de solitude s’éveille en moi. Une impression d’être à tes côtés isolé du monde autour, comme si tout n’était que noir et silence. N’être qu’une simple existence médiocre parmi tant d’autre. N’être que deux âmes bafouées aux portes d’un monde de vices. Nous nous insinuons à travers la foule qui s'entasse sur la piste de danse. Nous essayons en vain de nous frayer un passage jusqu’au bar afin d’acquérir un peu de tranquillité. Assis sur un tabouret du bar, je regarde flegmatiquement cette masse se mouvoir inlassablement sur la piste. Je ne vois sur leur visage ni bonheur, ni allégresse : ils sont tous là à bouger vides de sens . « Enfin une soirée tous les deux, ça fait longtemps » dis-je tout en commandant une vodka orange. Puis mon regard se tourne enfin vers Hysteria qui se voulait toujours désirable. « Tu es très prise en ce moment. Tu as trouvé le prince charmant ou quoi ? » Tout dans mes propos était cynique et froid, ne faisant allusion qu’à une seule chose : sa vie sentimentale et toute les autres cons avec qui elle partageait ta vie.

HJ : désolé, j'ai toujours du mal à commencer les sujets -.-
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M. Hysteria Birnt
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MessageSujet: Re: move your ass - Hysteria move your ass - Hysteria EmptyDim 13 Juin - 6:37

Parfois, je me sens comme un oiseau avec les ailes brisées. Comme si j'essayais de suivre les autres, de m'envolé avec eux, mais que mes ailes fracturées m'en empêchent et ainsi m'obligent à être différente. Sur cette piste de danse, je me sentais exactement comme cela, marchant vers le bar en tentant de ne pas perdre Empyrs entre tous ses gens, j'avais l'impression qu'en me regardant, ces gens voyaient ce que je voyais dans mon miroir et qu'ils pensaient les horreurs que je pense quand j'essuie mes larmes, qu'ils étaient tous mieux que moi et que j'aurais été mieux caché chez moi. Ce que je fais depuis quelque jours d'ailleurs. Buvant ma vodka au levé du soleil, je sortais que très rarement et tard le soir quand la nuit était installé pour aller danser et ainsi oublié. Ce sentiment malsain m'indiquait qu'il avait été absent de ma vie trop longtemps. La dernière fois que je lui avais adressé la parole, c'était quand il avait gâché ma soirée avec un autre homme. Après lui avoir dit ce que je pensais, j'avais décidé que pour un moment, Empyrs n'existerait plus dans mon monde cynique. J'aurais vraiment aimé que cela soit possible, mais mes journées étaient seulement plus sombre et plus les jours passaient, plus j'avais besoin de lui. Ce qui me rendait encore plus folle, folle de rage, contre lui, contre moi-même et contre l'univers.

Le fait que j'aie besoin de sa présence me donne envie de crier. Je devrais pouvoir passer une journée, vingt-quatre heures sans penser à sa chevelure foncée, à ses traits que je n'oublierai jamais et à sa voix qui me fait frissonner quand il chuchote tout bas dans mon oreille. Il n'a rien de plus que tous les hommes qui ont croisés mon chemin, il est comme tous les autres, instable. Je n'ai jamais eux de relation sérieuse, je n'ai jamais vue mes parents ensembles. Les relations stables et heureuse entre un homme et une femme ont existé dans les films de mon enfance, j'ai vite compris que je n'aurai pas besoin de homme pour vivre quand j'étais enfant. Pourtant, me voilà ici, avec lui, dans ce bar, parce que moi, Marousia Birnt, je ne peux pas supporter le savoir ailleurs qu'à mes côtés une seconde de plus.

Après cette soirée, je pourrai pour une durée non-déterminée vivre aucun problème, enfin sans autres problèmes que j'ai déjà. Même si mon être ne veut pas se l'avouer, mon coeur sait très bien que bientôt, je devrai le revoir, sans quoi, je me détruirai encore plus que je le fais déjà à boire ainsi et à me détester.

« Non, je n'avais simplement pas envie de te voir. » Lui avais-je lancé comme si ce n'était rien du tout, mais quand au fond, sous ces paroles froides, on devait lire que mon temps, je l'avais perdu seule, à essayer de me convaincre que je n'avais pas besoin de lui, qu'un ami avec qui je coucherais sans arrières pensers comme avec lui, je pourrais en trouver un autre n'importe quand, mais le petit bémol était le fait que lorsque j'étais avec lui, il y avait des arrières pensers. Puis, comme si j'étais celle qui avait commander la vodka jus d'orange, je pris son verre et en but une partie pour en suite le déposer sur le comptoir et le faire glisser jusqu'à lui. « Merci. » Mon bras effleura le sien et comme si nos corps n'avait pas été en contact depuis trop longtemps, je sentis le besoin de me rapprocher, mais ne fis que m'asseoir à ses côtés comme j'étais restée debout.

Spoiler:
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Empyrs Longstride
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MessageSujet: Re: move your ass - Hysteria move your ass - Hysteria EmptyLun 14 Juin - 20:17

L’amour. Mot piteux que l’humanité se voue d’expliquer de milles et saintes raisons. Nous avons eu besoin de justifier la perversité en la remplaçant par la désignation saugrenue du mot « amour ». Or l’amour guide à la perversité de l’homme. Nous sommes tous nés d’origine pornographique. Il n’y a la dedans ni passion, ni amour, juste une démarche érotique entre deux individus. Ce n’est que la fusion entre une goton et un libidineux. Le romantisme ne serait qu’un exécrable genre littéraire inventé pour des adolescentes impubères. Ne cherchons pas à convoiter l’amour, car il n’est qu’un leurre. Une illusion qui nous berce de désirs oiseux et d’ambition d’un monde irradiant. Ouvrons donc nos yeux aveuglés de toutes ces supercheries. L’amour n’est qu’une chimère qui se plaît épisodiquement à frôler nos corps de convoitises incandescentes.

Cette femme véhiculait une esquisse froideur. La miséricorde d’une femme sans cœur savait la rendre plus désirable que sa passion même. Sans cœur, elle était adulée de la raison mère et saurait défier nos pièges. Pour manipuler quelqu’un, octroyons plutôt ses sentiments que sa raison. Les sentiments d’un homme le guide à son autodestruction, mais si son esprit seul réside en son corps, alors jamais il ne sombrera. « Non, je n'avais simplement pas envie de te voir. » Dans son ton véhicule un cynisme glacial accompagné d’une aisance naturelle déstabilisante. Je la regarde pour déceler si elle pense vraiment ses dires. Il ne réside sur son visage ni cupidité, ni remord. Toujours avec une même aisance, elle prend ma vodka. D’une manière absurde, j’affectionnais son sans gêne. La contrefaçon qu’elle prenait de toujours faire le contraire du bon et du politiquement correct. Elle me tend enfin mon verre. L’effleurement de nos peaux souillés fait renaître une connexion oubliée dans l’abîme. Je pose mes lèvres là où elle avait posé les siennes. « Et moi qui pensais que tu t’étais fait attacher » Mes prunelles scrutent son profil embobiné par sa chevelure légère. L’image d’Hysteria attaché à un lit était absurde, pour la simple raison qu’elle n’était pas le genre de fille à se faire attacher à lit et jouer à la petite fille soumise. « Alors sinon combien de mecs tu t’es tapée cette semaine ? » Je ne pouvais pas m’empêcher d’être aussi cynique et froid. C’était me faire du mal à moi-même que lui poser ce genre de questions. Mais aussi saumâtre sa réponse allait être, j’éprouvais le malsain besoin de savoir.

HJ: tu rigoles ta réponse est très bien *.*
par contre pour ma part, j'ai du mal à commencer XD
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M. Hysteria Birnt
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MessageSujet: Re: move your ass - Hysteria move your ass - Hysteria EmptyMer 16 Juin - 1:47

Ses questions étaient à mes yeux étranges, j'avais presque l'impression de parler à quelqu'un avec qui je vivais une relation de couple, mais libre. Il me posait ses questions comme s'il avait droit à un contrendu détaillé de tou mes faits et gestes. Ce que je faisais avec les autres hommes n'était aucunement de ces affaires. Puis, même si j'aurais voulu voir d'autres hommes, il m'en aurait empêcher, comme il fait si bien quand il le peut. Un ami avec des plus, si on peut dire cela comme ça, ça se fout totalement du nombre de personne qui passe dans votre lit. Tout ce que ça veut, c'est du sexe quand il en a avis, je sais, il est pas le premier qui avait ce "rôle" dans ma vie. Mais Empyrs lui, il ne s'en fichait pas, moi non plus d'ailleurs. Je ne lui demandais jamais avec qui d'autre il pouvait passer ses nuits, car je ne ferais que me faire souffrir. Le savoir me détruirait encore plus que je le suis déjà. Je ne veux pas l'imaginer avec une autre, il n'est pas avec moi, on ne fait que coucher ensemble comme je lui répète si souvent, mais ça me fait quelque chose de le voir avec une autre femme que moi. Je ne savais pas si je devais répondre à cette question, le laisser dans te doute le mettrait peut-être la même situation que moi. Le laisser imaginer tous pleins de scénarios comme je le fais moi. Rester dans le silence, le rendrait peut-être aussi fou que moi. « Je sais pas, mais je sais que tu aimerais être le prochain, pas vrai? » Lui répondis-je sans ne rien dire à propos de son commentaire déplacé en rapport à moi attachée à un lit. C'était stupide comme idée, je ne suis pas une fille qu'on attache, je suis une fille qui part avant même de s'être attaché sentimentalement, alors s'il pense que quelqu'un aurait la "chance" de m'attaché physiquement, il peut rêver. En prononçant ces dernières paroles, je m'étais penché vers lui, lui lança un regard amuser. Mon sourire qui apparaissait que très rarement sur mes fines lèvres n'était pas un sourire heureux et doux rempli de joie, il était aussi cynique et froid que tout ce les penser froides et insensible qui peut bien passer dans mon esprit presque mort. À l'aide de ma main droite, je chatouillais son avant bras d'un seul doigt, souriant toujours. J'avais envie de plus que ce simple touché, mais je devais me contrôler, il ne devait pas lire dans mes yeux bleus ce que je ressentais au fond de moi, il ne devait pas voir sous ma carapace aussi épaisse que fragile. J'attendais qu'il réagissent, il semblait perdu, moins perdu que j'étais derrière mon regard vide, je faisais tout pour cacher mes sentiments. Il cherchait peut-être une réplique glaciale pour me faire perdre le contrôle, mais pour le moment, j'avais tous mes moyens même si l'alcool coulait dans mes veines, sa vodka n'était pas mon verre n'était pas mon premier de la soirée et mes jambes commençaient à le sentir, mais cela Empyrs ne devait pas le voir.

HJ: si tu aimes tant mieux, je me sens si nul à côté de toutes tes jolies phrases (aa)
Ta réponse est très bien, je l'aime moi ^^
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Empyrs Longstride
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MessageSujet: Re: move your ass - Hysteria move your ass - Hysteria EmptyMer 16 Juin - 20:37

Je haïssais l’éclisse de cette femme. Je haïssais son discernement et son cynique impudents. Elle savait faillir à mes demandes et régner maîtresse de la conversation la tournant à son avantage. Surtout elle savait me faire languir de mes désirs. Implorer un déluge dans mes ventricules, faire taire mon sans cœur et mener mon corps à sa merci. Entre le creux de ces mains, je vivais la funeste impression de n’être que pantin. Elle avait su sans que j’y prenne garde, rafler mon âme à mon propre jeu. J’étais devenu martyr d’un jeu libertin. Dans la nuit tendre, elle hantait mon subliminal, ancrée à mes pensés comme une signature de guerre. Hysteria avait su s’imposer à mon âme saumâtre comme la prédestinée. Elle pouvait appuyer là où le mal se ferait, brûler les derniers débris de mon sans cœur, et jeter au zéphyr mon esprit qu’elle aurait tordu de ses contradictions. Cette femme, nous avait enfermé dans un spleen sans limites. « Je sais pas, mais je sais que tu aimerais être le prochain, pas vrai? » Elle décidait de contourner ma question, chose qu’elle savait si bien faire. Un rire jaune se fige sur mon visage. Je prends une dernière gorgée de ma vodka, la dernière. Je sens son touché sur son avant-bras. Tout dans mon être incinère d’un plaisir altéré. Des pulsions me parcourent me privant un peu plus de ma raison. Je sais que je dois rester froid à cette femme de nonchalance, même s’il m’inflige de lui céder. Comment pouvait-elle à ce point m’assujettir à sa ferveur ? Indépendance de mon sans cœur envolé à cette femme de beautés. « Récupérer les restes des autres, non merci » Je pousse sa petite main de mon corps. Dans mon regard règne notre spécialité : le cynisme. Cette femme possédait un éclat qui la rendait aussi belle que méprisante. Il brûlait entre mes lèvres cette infâme envie de l’insulter. Lui dire à qu’elle point elle torréfiait mon être de haine. Je n'instruisais pas cette animosité qui me prenait comme l'inclination de certains jours. La vérité est que j’éprouve tout ça en son égard : mépris, amour, haine, et fascination. "Ne va te croire indispensable, tu n'es qu'une putain comme un autre. Une distraction"

« Trouve toi quelqu’un d’autre pour coucher avec ta carcasse vide »
Je me lève. Dépose de l’argent sur le bar. Le mépris et la passion se disputant raison dans mon être. Je pars vide de sens dans le fond de la boîte. Mon corps glisse contre le mur du couloir menant à la sortie. Tout cela me tue : notre jeu, nous, elle. Nous avions trouvé le moyen de briser nos existences mutuellement, tuer les débris de nos corps et de nos réflexions. Nos deux âmes trop proches étaient destinés à une connivence prohibée. « Catin ! Que le diable t’emporte »

HJ : mes jolies phrases ? XD
désolé de cette réponse assez brève, pas le temps de faire plus (a)
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